Page:Cousin d’Avallon - Diderotiana.djvu/44

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fournir à son esprit subtil de nouvelles interprétations à leur charge.

Quoi qu’il en soit, ce philosophe ne sentait point faiblement, et il s’exprimait comme il sentait ; l’enthousiasme qu’il montre dans quelques-unes de ses productions, il l’avait dans un cercle, pour peu qu’il fût animé ou qu’on contredît ses opinions ; il parlait avec rapidité, avec véhémence, et sa tournure de phrase était souvent piquante et originale.

On a dit que la nature s’était méprise en faisant de lui un