Page:Cousin d’Avallon - Diderotiana.djvu/46

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Diderot, pour ne pas ressembler aux célibataires du siècle, qui déclamaient sans cesse contre les célibataires de la religion en demeurant eux-mêmes dans un célibat quelquefois scandaleux, se maria ; il fut sensible et bon dans son ménage, s’irritant facilement, mais se calmant aussi facilement qu’il s’irritait ; cédant à des accès passagers de colère, mais sachant dompter son humeur.

M. Naigeon, membre de l’Institut, ami et disciple de Diderot, a recueilli ses ouvrages en 15 vol. in-8° ; Paris, Déter-