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Page:Cousin d’Avallon - Diderotiana.djvu/45

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métaphysicien, et non un poëte : mais, quoique souvent il ait été poëte en prose, il a laissé quelques vers qui prouvent son peu de talent pour la poésie.

La philosophie courageuse dont il se piquait affecta toujours de braver les traits de la critique, quoiqu’il y fût aussi sensible que Voltaire, et ses nombreux censeurs ne purent le guérir ni de son goût pour une métaphysique peu intelligible, ni de son amour pour les exclamations et les apostrophes qui dominaient dans sa conversation et dans ses écrits.