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Page:Crevel - Mon corps et moi (3e édition), 1926.djvu/120

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que ne couvraient ni les écailles ni les pustules, peau dangereuse, par la faute de votre mensonge, je me lamentais.

Mais qu’espérer des hommes, mes compagnons, acteurs d’une troupe à laquelle j’appartiens ?

Je connais assez l’art de feindre pour ne plus croire les vivants capables de vérité.