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CHAPITRE IV
LES ANTONINS. — LA SOPHISTIQUE ET SON INFLUENCE.

bibliographie

Les Sophistes. Les déclamations attribuées à quelques-uns des sophistes du second siècle se trouvent partiellement dans les Oratores graeci de Reiske (t. VIII). Leipzig, 1770-75 ; dans les Oratores attici de Bekker (t. IV et V), Berlin, 1874, de Dobson (t. IV). Londres, 1828, de C. Muller (t. IV), Paris, Didot, 1858. Voir, dans le chapitre même, les notes bibliographiques relatives à Polémon et à Hérode Atticus. Un assez grand nombre de fragments sont cités par Philostrate, dans ses Vies des Sophistes ; ils n’ont pas été réunis à part.

Ælius Aristide. Pour les manuscrits, consulter la préface de l’édition de Bruno Keil. — La première édition complète parut à Florence en 1517, par les soins de Bonini. Au XVIIIe siècle, Samuel Jebb donna une grande édition en deux volumes (Oxford, 1722-1730), avec les scolies et des notes, des prolégomènes, etc. Celle-ci fut remplacée, cent ans plus tard, par celle de J. Dindorf, 3 vol. in-8o, Leipzig, 1829, qui est restée en usage jusqu’à nos jours ; elle contient, outre le texte, des prolégomènes, les scolies, les Collectanea historica ad Aristidis vitam de J. Masson, diverses préfaces d’éditeurs antérieurs, et les témoignages anciens et récents sur Aristide ; le texte en est souvent défectueux. L’édition critique à employer aujourd’hui est celle de Bruno Keil, Ælii Aristidis quae supersunt omnia, en deux volumes, Berlin, Weidmann, 1898.

Maxime de Tyr. Édition princeps, H. Estienne, 1557. Édi-