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Tu es perverse. Mais qu’importe
La complainte pauvre qu’apporte
Le vent froid par-dessous la porte.
Fille d’automne tu t’étonnes
De mes paroles monotones…
Il nous reste à vider les tonnes.
Tu es perverse. Mais qu’importe
La complainte pauvre qu’apporte
Le vent froid par-dessous la porte.
Fille d’automne tu t’étonnes
De mes paroles monotones…
Il nous reste à vider les tonnes.