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Page:Curwood - Kazan, trad. Gruyer et Postif.djvu/242

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qui tirait sur sa chaîne, gronda en un tonnerre d’alarme.

Paul Weyman, réveillé, s’habillait. Sur la terre sanglante, le bandit, atteint mortellement et la veine jugulaire tranchée, se tordait dans son agonie.

Kazan regarda les étoiles qui brillaient au-dessus de sa tête, les noirs sapins qui l’entouraient. Il écouta le murmure du vent dans les ramures. Ici étaient les hommes. Là-bas, quelque part, était Louve Grise. Et il était libre.

Ses oreilles s’aplatirent et il fila dans les ténèbres.