Page:Custine - La Russie en 1839 troisieme edition vol 2, Amyot, 1846.djvu/412

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PAGE 235 à 297.
Rapport de nos idées avec les objets extérieurs qui les provoquent. — Côté dramatique du voyage. — Traits de férocité de notre révolution comparés à la cruauté des Russes. — Différence entre les crimes des deux peuples. — Ordre dans le désordre. — Caractère particulier des émeutes en Russie. — Respect des Russes pour l’autorité. — Danger des idées libérales inculquées à des populations sauvages. — Pourquoi les Russes ont l’avantage sur nous en diplomatie. — Histoire de Telenef.


PAGE 299 à 344.
Pétersbourg en l’absence de l’Empereur. — Contre-sens des architectes. — Rareté des femmes dans les rues de Pétersbourg. — L’œil du maître. — Agitation des courtisans. — Les métamorphoses. — Caractère particulier de l’ambition des Russes. — Esprit militaire. — Nécessité qui domine l’Empereur lui-même. — Le tchinn. — Esprit de cette institution. — Pierre Ier. — Sa conception. — La Russie devient un régiment. — La noblesse anéantie. — Nicolas plus Russe que Pierre Ier. — Division du tchinn en quatorze classes. — Ce qu’on gagne à faire partie de la dernière. — Correspondance des classes civiles avec les grades de l’armée. — L’avancement dépend uniquement de la volonté de l’Empereur. — Puissance prodigieuse. — Effets de l’ambition. — Pensée dominante du peuple russe. — Opinions diverses sur l’avenir de cet Empire. — Coup d’œil sur le caractère de ce peuple. — Comparaison des hommes du peuple en