Page:Cuvier - Recueil des éloges historiques vol 1.djvu/234

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bon curé de campagne, déplorant un paroissien vertueux, suivi de harangues qui préconisaient un digne membre de notre première institution littéraire ; enfin, cette famille en larmes, tout cet appareil de deuil et de douleur, au milieu de la pompe naturelle de la plus riche campagne et du ciel le plus pur ; cet ensemble et ces contrastes produisirent sur nous une impression dont le souvenir ne s'effacera point, et, que je ne me reproche pas d'exprimer encore, parce que je sens que ses amis, ses collègues, ceux qui viennent d'être entretenus de ses services doivent la partager.