Page:Cyvoct - Souvenirs de madame Recamier.djvu/177

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24 janvier.

« Chère amie, combien je souffre de votre malheur ! combien je souffre de ne pas vous voir ! n’est-il donc pas possible que je vous voie et faut-il donc que ma vie se passe ainsi ? Je ne sais rien dire ; je vous embrasse et je pleure avec vous. »