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Page:D'Isle - Deux cœurs dévoués, 1875.djvu/241

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DEUX CŒURS DÉVOUÉS.

on lui répondait toujours, quand il demandait des nouvelles de Cora, que mademoiselle allait très-bien.

Louise soupirait en apprenant cette réponse.

« C’est qu’elle nous a oubliés, murmurait-elle ; ce n’est plus un enfant maintenant, elle ne se plaît plus parmi nous. »