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Page:D'Isle - Deux cœurs dévoués, 1875.djvu/8

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PROLOGUE.

— La pauvreté en a-t-elle moins ?

— Je le crois.

— Nous verrons, mon frère Mizaël. »

Et, reprenant son vol, l’ange gardien atteignit rapidement la porte du splendide château de Morancé.