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Page:Désaugiers - Chansons choisies, 1861.djvu/108

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Malgré soins et prières,
La fièvre prévalut ;
Il fallut
Mettre ordre à mes affaires
Au bruit du testament,
Poliment,
On me reflatta.
On me refêta.
On me revisita…
Qu’ils sont polis, etc.

Mais, comme sur leur compte,
J’ouvrais enfin les yeux
Un peu mieux,
Aucun d’eux, à sa honte,
N’étant même héritier
D’un denier,
On redéfila,
On redétala,
On me replanta là…
Qu’ils sont polis, etc.

Voyant chez mes ancêtres,
Mon voyage remis,
J’ai promis
Qu’après ma mort les prêtres,
Devant le trépassé
Délaissé,
Pour tout oremus,