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CÉSAR FRANCK
quand j’aurai fait ressortir la curieuse coïncidence,
au point de vue de l’effet esthétique, du
motif initial de la Symphonie :
et même de celui de la troisième Béatitude :
etc.
avec la mystérieuse question posée par Beethoven
à la fin de son quatuor, op. 135 :
quand j’aurai signalé l’apparence meyerberienne
de quelques passages — inférieurs — des mêmes
Béatitudes :
par exemple, et aussi les quelques influences
wagnériennes que l’on peut rencontrer dans le
chromatisme des Éolides comme dans l’emploi,
probablement inconscient, du thème des cloches
de Parsifal[1] (car je sais une époque où il lut
- ↑ Dans le choral du Prélude, choral et fugue pour piano.