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Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/313

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si tu ne veux pas te mettre toute nue.

— Oh ! oui, oui, je veux.

— Tu voudras bien mieux toute à l’heure.

Il me cingla les cuisses et l’entre-cuisse encore pendant deux minutes, m’obligeant à hurler comme une écorchée.

Les femmes de chambre disparurent. Je me déshabillai, me mettant toute nue, les larmes aux yeux et le feu au derrière. Puis je dus le dévêtir et lui retirer sa chemise. Il bandait plus fort que mon cousin, celui qui m’a dépucelée, et il avait la verge plus longue et plus grosse. Aussi j’éprouvai une certaine souffrance quand il me pénétra.

Je ne m’avisai plus de me refuser à me mettre toute nue. Mais quelques jours après un vieux débauché, après m’avoir lui-même dénudée, m’obligea à le déculotter. J’avais dû m’agenouiller pour cette opération, et j’avais devant les yeux l’objet qui pendait entre ses cuisses.

Il me dit de caresser ses bourses et de prendre sa pine dans mes lèvres. Je pris les bourses dans mes mains, mais j’hésitais à prendre l’objet dans mes lèvres, et je lui donnai quelques timides baisers.