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Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/315

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quarantaine d’années m’attendait avec une grande levrette grise, qu’il tenait en laisse.

Je dus lever mes jupes par derrière, me pencher en avant, pendant qu’il se déculottait. Il planta son outil dans mes fesses assez difficilement, bien que le passage fut ouvert depuis longtemps, car il franchit la porte en prenant très peu de précautions. Puis il m’enjoignit de lever mes jupes par devant. Il lâcha la levrette, qui s’élança vers mon chat, plongeant son museau dans mes cuisses, léchant ces parages en chienne habituée.

Le monsieur ne faisait pas un mouvement, se fiant sans doute à l’effet que ne manquerait pas de produire l’épaisse langue du molosse sur mon clitoris léché, et qui se communiquerait assurément au muscle constricteur.

La première sensation, que j’éprouvai sous cette épaisse langue, fit que je me tordis sous l’horrible volupté que je ressentais. Le muscle se contracta, mais ce ne fut pas à la première contraction que l’effet se produisit, ni à la seconde, ni à la troisième. Ce ne fut qu’à la dixième qu’elle opéra.