Aller au contenu

Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/452

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 86 —

Quand la cavalière eut vidé les arçons, il vint constater avec le doigt l’effet produit. Il se souvint alors de ce qui m’était arrivé la jour de la fête intime qu’il avait donnée à ses amis.

Après les ablutions indispensables pour les deux acteurs, l’édredon devint matelas et je pris le rôle de la cavalière, après avoir mis la monture en état comme je le devais. Je descendis ma croupe incendiée sur le membre quillé. Je dus écarter les poils qui embarrassaient l’entrée, et je m’enfourchai, descendant sur son ventre mes fesses brûlantes.

Ce roulement de mes fesses, sur une quille qui garnissait si bien ma gaîne, eut un effet magique sur mon bouton, qui se mouilla pendant que mes fesses frétillaient, et qu’il se sentait serré dans le vagin qui le tétait. Alors commença la voltige sur mes hanches, sur mes cuisses, sur mes fesses, me pinçant au vif. Mon frétillement durait toujours, je sentis qu’il s’épanchait. La fessée dura deux minutes, il mit tout ce temps à évacuer le sirop.

Quand je fus désenconnée et débarbouillée, il voulut tenter une expérience sur moi. Il