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Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/453

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obligea ma compagne à me lécher le bouton sur le bord du lit, les pieds à terre. Elle fut obligée d’écarter les obstacles broussailleux, pour mettre au jour le gros clitoris qui nichait dans ces parages.

Il le toucha du bout du doigt appuyant dessus. Le bouton frétilla et se raidit à cette caresse. Il me branla pendant trente secondes avec deux doigts, un seul ne pouvait pas le couvrir. Le bouton frétilla tout le temps et lui mouilla les doigts.

La fille s’agenouilla tenant les lèvres entr’ouvertes, car il voulait tout voir, et elle ne devait se servir que de la langue. Elle était bien experte cette langue, car elle me frottait avec une dextérité merveilleuse, si bien que la minute ne s’était pas écoulée, que le bouton se mit à frétiller. Le Grand Duc se prit d’une main à mon épaisse toison, passant sa main droite sous mes fesses, qu’il trouva frissonnantes, qu’il pinça dans ses doigts, regardant mes tétons bondir sur ma poitrine.

À la seconde expérience, qui fut concluante en peu de temps, ce fut à mes gros seins qu’il s’adressa. Il les prit dans ses