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VI
JE TIENS LE MANCHE
ien que vous connaissiez la suite de
mon histoire, je veux vous en raconter
les faits les plus saillants.
Je donnai d’abord des leçons de danse, qui me rapportaient gros, car j’avais la réputation d’être une bonne éducatrice. Mon postérieur était à présent à l’abri de la nagaïka, car j’étais du côté du manche. Je fessais plus souvent que je ne fouettais les élèves que l’on m’amenait, car je donnais mes leçons dans mes appartements l’après-midi.