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III
LA BOÏARINE À LA TOILETTE.
ès leur lever nos deux maîtresses, la
maîtresse et la fille réclamaient nos
soins. C’était à ce moment de la journée
que pleuvait une grêle de claques sur les
filles de service. Dès la sortie du lit, on les
emportait dans la baignoire.
J’ai dit que les servantes étaient toutes nues pour ce service, nous avions même les pieds nus dans des babouches. Les maîtresses étaient rarement satisfaites. Le bain était presque toujours ou trop chaud ou trop froid. La fille qui leur bassinait le