les laisse retomber sur les sillons déjà tracés,
qui de roses deviennent violets, et dont la
cuisson fait hurler la fustigée. C’est le tour
de sœur Pélagie qui cingle les tendres cuisses
à tour de bras, soulevant des cloques sur la
peau. Sœur Gertrude dirige les pointes entre
les cuisses, et détache sur les lèvres vermeilles
de la grotte, deux coups cinglants
qui font rugir sœur Rodogune ; son gros
postérieur bondit, se tord, les lèvres du
divin séjour s’écartent sanguinolentes, laissant
voir sur le bord le petit prisonnier. Sœur
Agnès, qui vient ensuite, cingle brutalement
le pauvret qu’elle oblige à rentrer tout meurtri
dans son écrin, sœur Lucile choisit un
globe, y trace un sillon, qu’elle élargit en
y cinglant le second coup. Sœur Monique,
par esprit d’imitation, en fait autant sur l’autre
fesse. Puis chaque nonne vient à la file
venger son injure, par les deux coups de
verges que la règle lui accorde, regrettant,
on le devine à la fureur qui dirige leur bras
sévère, de n’avoir pas le droit de tripler la
dose, affamées qu’elles sont de vengeance.
Enfin voici la mère abbesse, qui par quatre fois, comme c’est son droit, cingle la raie