Page:D - Jupes troussées, 1889.djvu/116

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s’agenouille sur le coussin, elle doit faire quelques pas pour arriver au prie-Dieu, nous laissant admirer un dos admirable d’un blanc de neige, et au bas des reins, un superbe cul rose des caresses qu’il vient de recevoir, qui se dandine dans un gracieux déhanchement pendant qu’elle s’achemine vers le prie-Dieu.

Dès qu’elle est agenouillée, je reprends la verge, et j’applique lentement les dix derniers coups, les huit premiers peu sévèrement, rosant à peine le satin, les deux derniers de toute la force de mon bras, découpant sur la peau deux sillons sanglants, dont la cuisante morsure arrache des hurlements à la tendre Cunégonde, qui sans doute jusqu’à ce moment, se moquait de ma mansuétude.

Je condamne ensuite la tendre novice, qui geint toujours, à garder cette posture pendant une heure, buvant sa honte devant le chapitre en prières.

La règle ne me permettant pas de confesser une novice en particulier, j’entraîne la plantureuse Rodogune dans la cellule d’en face, d’où, grâce à la porte vitrée, j’ai sous les yeux le ravissant tableau du joli cul meurtri de la gente novice, en même temps que je con-