Page:D - Jupes troussées, 1889.djvu/115

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 105 —


verte de ce beau postérieur, m’engage à changer mes dispositions.

Je m’avance vers le derrière coupable, et après lui avoir appliqué, en manière d’exorde, une douzaine de claques sonores, qui font sauter et rougir l’aimable fessier, je prends une verge neuve, et je commence à cingler la mappemonde, m’arrangeant à faire plus de bruit que de mal, changeant les lis en roses ; je dirige les pointes vers le centre des délices, quatre ou cinq légères atteintes émeuvent la grotte, et l’obligent à s’entr’ouvrir un peu. Il me restait dix coups de verges à appliquer ; je décide que la coupable les recevra toute nue.

La tendre novice, bientôt dépouillée de tous ses vêtements, s’offre à nos yeux toute nue, rouge de honte, avec son délicieux corps de vierge blonde, grassouillette, dodue, aimablement potelée ; deux petits seins ronds et menus, de quoi remplir la main, dansent sur la gorge agitée par la crainte et l’émotion, et bercent deux petits boutons de rose ; une petite fourrure dorée, au poil naissant, met une petite tache blonde au fond d’un ventre poli et blanc. On la retourne, et avant qu’elle