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« par une apothéose ; flic, flac, la voici, ma chérie — ».

La nonne, à ces mots, dirige de nouveau les lanières sur les charmes secrets ; quelques coups appliqués avec force, font d’abord hurler et bondir la patiente, qui se tait bientôt, et se met à se remuer, écartant les fesses, comme si elle éprouvait une sensation plutôt agréable que douloureuse. Cette sensation ne dura guère, non plus que le silence, car sœur Sévère retournant bien vite au postérieur meurtri, applique avec une extrême sévérité, secouant tous ses appas dans l’élan qu’elle prend, les derniers coups, qui meurtrissent la chair mise à vif, faisant chaque fois jaillir le sang sur la peau à demi tannée, et arrachant des hurlements de douleur à la tendre victime, que le bourreau laisse ensuite exposée dans la même posture, exhibant son pauvre postérieur couvert de rubis, lui laissant boire sa honte pendant quelques minutes.

La mère abbesse retrouvait pour la quatrième fois des péchés à accuser, et à se faire pardonner, et son confesseur assez d’énergie pour l’entendre et pour l’absoudre,