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Page:D - Jupes troussées, 1889.djvu/151

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En rouge vif sur les fesses s’imprime,
Et fait bondir le cul de la victime,
      Qui pousse un long gémissement.
Un second coup auprès de l’autre creuse
      Un mince sillon qui bleuit ;
            La victime rugit.

      « Flic, flac, voyons, dit la fesseuse,
      En cinglant vigoureusement
      Le gros fessier déjà fumant,
   Si nous saurons vous guérir de ce vice.
Flic, flac, humilions ce cul si blanc, si fier ;
      Flic, flac. coupons, hachons la chair,
      Flic, flac, voyons sur cette cuisse ;
      Flic, flac, sur l’autre maintenant,
      Flic ! flac, et sur l’impertinent,
      Qui dans sa prison semble rire.
      Flic, flac, ah ! ceci doit vous cuire !

Flic, flac, il faut pourtant qu’il ait son tour aussi.

      Le petit diable que voici.
      C’est lui qui fait votre martyre,
      C’est grâce à lui, qu’on vous déchire.
   Flic, flac, il ose encore se montrer ;

Flic, flac, cache-toi donc, ou nous allons, beau sire,