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      « Comme le cul te déchirer.

Votre gros cul meurtri se tord sous la souffrance,

Et vous criez, Nelly, comme un chat écorché ;

Il faut pourtant qu’il soit dans tous les coins haché ;

   Aussi, ma mie, on va presser la danse ».

Pour fouetter plus à l’aise, elle arrache soudain
Sa chemise et la lance au loin dans la carrière.
Toute nue à présent la superbe nonnain
Fouette rageusement la charmante écolière,
Qui sanglote et gémit tortillant son derrière.

Ce spectacle enchanteur a mis Jacques en train,
      Et vers l’opulente croupière
      Me dirigeant, Parme à la main,

Je viens sans plus tarder l’attaquer par derrière.

La nonne, suspendant à ce contact ses coups,
      Se penche, me venant en aide.
            Écartant ses genoux ;
      Et dans la grotte humide et tiède
      Je pénètre sans grands efforts.

   Quand la nonnain, en levrette fouillée,