« Pour ôter l’envie au bijou,
De redemander des services
Au petit doigt dont il est fou.
C’est un puissant auxiliaire,
Et c’est un piquant aiguillon.
Mais revenons, s’il vous plaît, au derrière :
Que chaque coup y creuse son sillon !
Ah ! vous avez le cul du plus beau vermillon ;
Ah ! vous devez souffrir un horrible martyre !
Flic, flac, Nelly, je veux ce soir
Si bien traiter votre beau reposoir,
Qui de longtemps, j’espère,
Vous ne pourrez, ma chère,
Sur votre séant vous asseoir. — »
S’ouvrent, se ferment, s’élargissent.
Sur le satin étincelant,
Que la cravache à chaque coup entaille,
Perlent quelques gouttes de sang.
Puis au revers de la médaille,