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Page:D - Jupes troussées, 1889.djvu/154

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— 144 —

      « Pour ôter l’envie au bijou,
      De redemander des services
      Au petit doigt dont il est fou.

Flic, flac, ah, ah, ceci ; mignonne, doit lui plaire,

      C’est un puissant auxiliaire,
      Et c’est un piquant aiguillon.
   Mais revenons, s’il vous plaît, au derrière :
      Que chaque coup y creuse son sillon !
Ah ! vous avez le cul du plus beau vermillon ;

Il brûle, il fume, il saigne, et comme il doit vous cuire !

Ah ! vous devez souffrir un horrible martyre !
      Flic, flac, Nelly, je veux ce soir
      Si bien traiter votre beau reposoir,
            Qui de longtemps, j’espère,
            Vous ne pourrez, ma chère,
      Sur votre séant vous asseoir. — »

Cependant sous les coups les deux fesses bondissent,

      S’ouvrent, se ferment, s’élargissent.
      Sur le satin étincelant,
   Que la cravache à chaque coup entaille,
      Perlent quelques gouttes de sang.
      Puis au revers de la médaille,