Page:D - Jupes troussées, 1889.djvu/153

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   Jusqu’au nombril se sent enchevillée,
      Elle redresse un peu le corps.
Accroché des deux mains à l’aimable saillie,
Que forment par devant deux globes potelés,
      Je fouille la grotte assaillie
      Avec une ardeur recueillie,
Ne perdant pas de l’œil les appas flagellés.
      Car pendant que je manœuvre,
      Sœur Tourment, reprenant son œuvre,
      Cingle le cul rouge et fumant,
            Tandis qu’elle sermonne
      De nouveau la tendre mignonne,
Qui hurle chaque fois que l’affreux instrument

Vient hacher en sifflant, les chairs qu’on voit se tordre

      Sous le baiser qui vient les mordre.

      « Flic, flac, voici pour lui, ma chère.

J’aime à voir gigoter ce gros cul sous mes coups ;

Flic, flac, n’oublions pas l’ami dans son repaire ;

      Flic, flac, voici pour lui ma chère.
      Ah ! c’est plaisir de vous fesser,
      Mignonne, et de vous caresser,
      Flic, flac, entre vos tendres cuisses,