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UNE SÉANCE AU CLUB DES
« FLAGELLANTES »
(Ce récit est la traduction littérale d’une lettre de mon jeune ami, sir John Seller, qui a assisté, déguisé en femme à la séance qu’il me décrit sur ma demande. Il m’en avait déjà fait le récit, mais j’ai préféré pouvoir traduire ici sa relation, que de me fier à ma mémoire).
ous savez, my dear, que j’ai vécu
pendant six mois auprès de l’adorable
lady Loverod ; vous savez
aussi comment prit fin cette curieuse
aventure. La noble dame, alors âgée de
vingt-quatre ans, très passionnée pour la verge,
aimait à la donner comme à la recevoir, et