Page:D - Jupes troussées, 1889.djvu/170

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mante, la couvre de baisers ; derrière lady Loverod, la fouetteuse étendue embrasse amoureusement le beau cul meurtri. Je n’ose prendre sa place, malgré la folle envie que j’ai de la déloger… Quand ma maîtresse se relève, je constate qu’elle a, elle aussi, payé son tribut à l’amour, pâmée par le seul stimulant de la verge.

Ce fut ensuite le tour de lady Fair, une toute mignonne blonde potelée, qui sollicite les bienfaits de la verge. Deux ladies s’en emparent, et la déshabillent en un tour de main, ne lui laissant que la chemise et un joli pantalon collant, qui moule admirablement les rondeurs saillantes de sa belle croupe rebondie. Une vigoureuse clubwoman se dépouille de tous ses vêtements, ne gardant que ses chaussures, et vient offrir son concours. On hisse la petite dame blonde sur ses reins ; elle entoure la porteuse de ses bras, s’accroche par devant aux gros tétons, exhibant sa belle mappemonde toujours enfermée. On ouvre le pantalon, qu’on descend et qu’on retire, on roule la chemise qu’on épingle aux épaules, découvrant au bas d’une admirable chute de