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reins, un superbe postérieur potelé, fait de lis immaculés ; au-dessous du creux formé par l’arrondissement des fesses, entre les cuisses écartées, on aperçoit la jolie fente vermeille, au milieu d’un fouillis de frisons roux.

On me tend les verges, en me recommandant de m’escrimer sur le beau derrière, et de ne pas le ménager. Il était si joli, ce beau cul blanc, que je ne pouvais me résoudre à l’abîmer, je prends donc les verges avec l’intention de les manier avec une grande indulgence.

Clic, clac, clic, clac, elles retombent, faisant plus de bruit que de mal, et après deux minutes de cet indulgent exercice, les lis immaculés de ce beau cul blanc étaient à peine changés en neige rose. Je ne faisais pas sans doute l’affaire de la blonde lady, qui restait immobile sur les reins qui la supportaient, car elle s’écria : « Plus fort, plus fort donc » ! « L’entourage, qui s’en mêle aussi ; me reproche vivement ma faiblesse.

Voyant que tout le monde insiste, et que l’intéressée surtout réclame du nerf, j’accentue les cinglées, la neige rose change bientôt en coquelicots du plus beau rouge pourpre,

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