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son mariage, qui est une des ferventes de la verge. On la met en tenue, ne lui laissant que ses bas de soie noire et ses brodequins vernis.

Je me repais un moment de l’adorable spectacle qu’offre ce corps ravissant, qui s’exhibe dans les plus plaisantes postures, étalant des charmes virginaux, des tétons ronds et menus, dont la pointe semble un tout petit bouton de rose mousse. Elle met un pied à l’étrier, le pied droit reste à terre ; les fesses ainsi distendues, laissent voir la petite fente vermeille, un peu tordue ; puis s’enlevant à la force du poignet, la jambe droite vient se coller contre la gauche ; elle la lance par dessus la croupe du cheval, et l’enfourche aussi lestement qu’un écuyer de cirque.

Dès qu’elle est en selle, lady Whip s’empare d’une fine cravache de dame, et vient stimuler l’écuyère. D’abord de légers coups laissent la cavalière insensible et immobile sur la selle ; puis des coups plus vifs, qui tracent de petites lignes roses sur la peau, l’obligent à prendre le trot ; elle se dresse sur ses étriers, allant à l’anglaise, le cul retombant