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leuse, elle se retourne brusquement et se dirige à pas lents vers l’ottomane, balançant dans un déhanchement voluptueux, ses opulents hémisphères, entièrement cachés par les côtés du pantalon et par un pan de chemise qui sort de la fente ; et sans la moindre hésitation, elle s’allonge sur le meuble. Dès qu’elle est en posture, les quatre aides se précipitent sur elle, trois la maintiennent vigoureusement, pendant que l’autre lui passe une courroie autour des épaules pour l’assujettir, tandis qu’elle se débat, refusant de se laisser attacher, protestant qu’elle veut endurer librement son châtiment. On l’attache cependant malgré ses protestations et sa résistance, pour l’empêcher de se démener pendant la correction, et de tenter de s’y soustraire, car le châtiment menace d’être terrible ; on lui écarte ensuite les jambes qu’on attache solidement des deux côtés du meuble par les chevilles. Elle essaie encore de se dégager, bondissant sur l’ottomane, mais devant l’inutilité de ses efforts, elle renonce enfin à la résistance.

Madame Tannecuir s’avance alors, déboutonne le pantalon, rabat les pans, et le descend jusqu’aux genoux, ne pouvant le baisser davan-