tage, à cause de l’écartement des jambes ; elle
relève ensuite la chemise, la roule jusqu’au
haut des reins, rejette la longue chevelure à
droite et à gauche, et découvre enfin ce corps
merveilleux, de la nuque aux talons, nu des
épaules aux jarretières de soie rose, attachant,
au-dessus du genou, de jolis bas de soie gris-perle.
Les reins, d’un satin de neige étincelante,
terminés par une splendide mappemonde rebondie,
charnue, veloutée, superbement développée,
montrant entre ses deux magnifiques
hémisphères écartés, la raie large, au
bas de laquelle on distingue à merveille le
petit point noir, entouré d’un cercle brun
imberbe, et entre les cuisses rondes et potelées,
les bords vermeils de la grotte de Cythère,
resserrés, fermant hermétiquement la fente
virginale, dont l’entrée disparaît sous d’épaisses
touffes de poils noirs.
Madame Tannecuir prend sur une table une longue verge souple et élastique, et commence à l’appliquer sur le beau postérieur, d’abord sans trop de sévérité, rosant à peine le satin, pour préparer la peau à un plus rude châtiment. Éliane ne bouge pas plus qu’un terme. Quand la croupe a pris une teinte plus colorée,