Page:D - Jupes troussées, 1889.djvu/63

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descends jusque sur les genoux, mettant complètement à nu les fesses rebondies, qui se présentent ainsi dans leur plénitude, ainsi que les belles cuisses rondes et blanches, délicieusement tournées, entre lesquelles on voit très bien la délicieuse fente vermeille, sous un frison qui la cache ; la jolie toison blonde s’arrête juste à l’entrée, où l’on voit voltiger quelques mèches folles frisées. Le ravissant postérieur blanc et potelé offre ainsi épanoui, une large surface aux claques qui vont être le prélude d’une sévère correction.

Sur un signe de la maîtresse j’applique, avec le plat de la main, une douzaine de gifles, qui laissent des marques rouges ; la patiente ne souffle mot, mais son derrière parle à sa façon, et manifeste par ses sauts de carpe, qu’il est sensible aux rudes caresses que je lui prodigue.

Juliette, qui vient prendre ma place, me montre ce qu’elle désire. Elle désire parbleu, que je disparaisse sous ses jupes, pendant qu’elle va reprendre mon charmant exercice sur l’aimable postérieur. Comme je sais que si je souscris tout de suite à ses désirs, la fessée sera vite réglée, je m’amuse un moment aux bagatelles de la porte. Enfoui sous ses