Page:D - Jupes troussées, 1889.djvu/65

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tête de mon membre, que je tiens tout droit en face du centre des délices, dirigeant la pointe vers l’orifice ; dès qu’elle est dedans, la belle croupe descend sur la colonne, l’engloutissant peu à peu dans son vagin jusqu’à la racine ; ses fesses repoussent mon ventre, appuyant fortement sur ma toison ses contours, et elle reste ainsi enchevillée, sans faire un mouvement, tandis qu’embrassant sa hanche dans mon bras droit, je porte ma main sur le devant, à l’entrée de la grotte, et je me mets à branloter le petit bouton d’un doigt agile.

Clic, clac, les verges retombent sur les gros hémisphères, changeant en coquelicots les roses incarnadines que la fessée y a semées ; et bien qu’elles ne soient pas très sévèrement appliquées, la fustigée paraît en ressentir vivement les atteintes, car la croupe bondit, les globes s’écartent, se referment, gigotent convulsivement, découvrant les petites lèvres vermeilles, qui bâillent entre les cuisses. Mon doigt court toujours actif et léger sur le bouton, Juliette reste toujours immobile enchevillée sur ma quille. La fouetteuse fortement excitée par les plaisantes mines du gros derrière empourpré accentue la sévérité