Page:D - Jupes troussées, 1889.djvu/66

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de la correction. Héloïse se démène comme une possédée, et se met à gémir d’une lamentable façon ; la croupe en bondissant s’écarte, et découvre à chaque instant le centre des délices de plus en plus entre-bâillé. Deux coups adroitement dirigés sur les lèvres du minet, arrachent deux cris aigus à la patiente, qui serre nerveusement les fesses qui se trouent de deux fossettes ; mais elles s’écartent de nouveau sous l’avalanche de cinglées qui viennent les meurtrir.

Enfin sous une grêle de coups très sévèrement cinglés, le satin se couvre de raies livides ; quelques gouttes de sang perlent à la surface ; la fustigée hurle et se tord de douleur. Mon doigt obtenait au même moment un heureux résultat ; le clitoris ému palpite et répand une douce rosée, le vagin toujours immobile se contracte sur ma verge, et la comprimant dans toute son étendue, la tette entre ses parois brûlantes, aspirant goutte à goutte sa chaude liqueur.