Page:D - Jupes troussées, 1889.djvu/87

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Hélène. Je profite de la permission, sans cependant manifester l’enthousiasme qui me déborde, pour palper à pleines mains et à pleines lèvres, les rondeurs exquises, de la tête aux pieds.

C’est ensuite le tour du dos, un dos du plus blanc satin, râblé, aux chairs pleines, qui descend vers la croupe superbement développée dans un audacieux rebondissement ; la splendide mappemonde, encore un peu rose de l’indulgente fessée, se partage en deux hémisphères charnus, bombés, veloutés, invitant la dent à y mordre, et la main à les claquer.

Je dispose Juliette sur le bord du lit, couchée sur le dos, avec une pile de coussins sous les épaules, de façon à lui tenir la tête élevée, les pieds reposant à terre, les jambes écartées. Hélène grimpe sur le lit, enjambe Juliette, s’agenouille de façon à reposer sa fente sur les lèvres de sa maîtresse, les fesses surplombant la gorge, épanouies et bien développées pour recevoir le fouet. De cette façon j’ai sous les yeux le splendide corps nu de ma charmante maîtresse, les tétons développés, d’une forme admirable, et d’une blancheur