Aller au contenu

Page:D - Jupes troussées, 1889.djvu/88

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 78 —


éblouissante, coupés par deux roses du paradis, qui tranchent en rouge vif sur la neige de la gorge ; le ventre blanc et poli, au-dessous du nombril, l’épais bosquet fourré, d’un noir de jais, au-dessous duquel bâille la grotte aux lèvres roses, ses opulentes cuisses charnues, ses jambes rondes enfermées dans de fins bas de soie.

Au-dessus de la belle gorge de ma maîtresse s’étale le gros postérieur que je vais fouetter. Pour le palper à mon aise, avant de prendre les verges, je lui applique une douzaine de claques ; ma main se repose chaque fois avec un plaisir extrême sur ces belles chairs tendres, se relevant pour retomber douce et caressante. Mais l’ardente blonde sollicite des caresses plus vives. Me rendant à ses désirs, je prends la longue verge élastique, dont s’était servie Juliette, et je commence une sérieuse flagellation ; chaque coup met des roses sur les lis du satin, et fait bondir l’aimable postérieur que Juliette doit enfermer dans ses bras, pour maintenir l’embouchure sur ses lèvres. Les fesses s’écartent plaisamment, recommençant les jolis mouvements que leur impriment