arrivée. Mercédès, dont le sang espagnol brûle tout naturellement, s’accoste à Sophie, et toutes nues, debout, la bouche sur la bouche, elles se frottent lascivement leurs duvets, cambrant les reins, rejetant en arrière la grosse mappemonde, se remuant comme deux furies, les seins écrasés, les haleines mêlées. Lola et Mina s’agenouillent derrière les deux gougnottes, et viennent larder le noir byou entre les fesses de la pointe rose d’une petite langue aiguë et pénétrante ; obligées de les suivre dans leurs contorsions, nous assistons, vivement intéressés, à la charmante lutte. Bientôt les croupes se bombent, bondissent, se balancent, montant, descendant, se ferment serrées, se rouvrent écartées, restant épanouies quand les gougnottes se pâment. Elles jouissaient encore quand elles désunirent leurs bouches haletantes, se détachant avec peine de leur étreinte passionnée.
Après un moment de repos, on va faire un peu de gymnastique. On découvre l’échelle verticale qui est scellée au mur ; les dames chaussent des feutres à fortes semelles ; puis Mina, donnant l’exemple, grimpe à l’échelle jusqu’en