Page:D - La Comtesse de Lesbos, 1889.djvu/153

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qui s’y reposent, la grotte entre-bâillée de la comtesse, disposée à l’amour ; au-dessus, au deuxième étage, la fente un peu rouge du petit conin vierge. J’en humecte les bords, j’humecte aussi le gland, et la comtesse, allongeant les bras, vient m’aider du bout des doigts ; le gland glisse après quelques efforts, et quand j’occupe la position déjà conquise dans le dernier assaut, je recommence à pousser ; la pucelle gémit, je m’allonge sur son corps, écrasant ses seins, et prenant ses lèvres dans les miennes pour étouffer ses soupirs, je continue à pousser, donnant des coups de reins, d’abord doucement, puis plus vigoureusement, pendant que le corps de la mignonne se trémousse sous le mien ; enfin, je donne trois assauts rapides, la pointe pénètre d’un pouce, crevant l’hymen, qui craque en se déchirant ; la pucelle bondit, saute, sa croupe retombe avec force sur le ventre qui la soutient ; je redouble de coups de reins, le membre pénètre aux trois quarts, et, malgré les sauts de carpe de la victime, je loge enfin ma verge toute entière dans l’étroit réduit ; je suis au cœur de la place. La mignonne se tord, gigote, se tor-