la bouche de son amie, qui a repris son air de vierge, avec l’équilibre.
La comtesse, se dirigeant vers les boutons électriques, en pousse un, recommandant à la blonde Agnès de remettre son loup, si elle veut garder l’incognito. Les soubrettes arrivent aussitôt, Lola masquée, les deux autres à visage découvert, toutes sans vêtement, chaussées de babouches. L’inconnue, dont les yeux brillent derrière le loup, dévisage avec émotion le charmant trio, agitée par un trouble secret. Pour la rassurer, la comtesse veut lui montrer l’exemple, et sur un signe de ses yeux, les soubrettes viennent déshabiller leur maîtresse avec tous les détails habituels, lui suçant les seins, lui tripotant les fesses, lui baisant les pieds ; puis, l’ayant chaussée de mules, on la conduit sous le trapèze ; après les tendres préliminaires, les promenades de baisers sur tout le corps, avec arrêt dans les recoins, le grand jeu commence. La blonde madone frissonne dans son fauteuil, d’où elle suit avidement tous les détails du divertissement. Lola gamahuche le conin, Lison fouille le derrière, Mina suçotte les seins. Voyant la bouche inoccu-