Page:D - La Comtesse de Lesbos, 1889.djvu/71

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mon engin, se contractent convulsivement, étranglant le prisonnier, qui cependant fouille et refouille, quoique avec peine, le réduit rétrécié, qu’il inonde d’un flot de lave brûlante, en même temps que la tendre empalée se tord pâmée. Quand nous nous séparons, les cuisses de Mina sont toutes mouillées, les reins de Lola, que chevauchait l’ardente comtesse, sont couvert d’une rosée mousseuse ; Lola et Lison, quand elles se relèvent, ont des moustaches luisantes.

Quand Agnès de P., nous quitte, elle sollicite la faveur d’amener le lendemain Blanche de R., son amie intime. « Blanche de R., dit la comtesse, d’un air de connaissance, mais certainement, amenez-la, elle sera la bienvenue. »

Nous nous couchons, le lustre allumé ; j’en devine la raison, en voyant la glace, plaquée au ciel de lit. Mercédès veut éprouver, la première, l’effet produit. Je lui procure cette satisfaction, en prenant la prééminence. Elle s’amuse beaucoup de mes plaisantes contorsions. Puis, se prêtant à mon caprice, elle s’installe sur moi, me dominant, m’humiliant, comme elle le disait. Elle se met la grosse machine dans le ventre, et,