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Page:D - La Comtesse de Lesbos, 1889.djvu/92

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réalisation de leurs désirs, elles imaginent un moyen qui leur réussit vite. S’agenouillant devant le perclus, l’une le prend dans sa bouche, l’enfonçant jusqu’à la racine, l’autre promène une langue douce et chaude autour des deux témoins. Que vouliez-vous qu’il fit contre deux ? Qu’il bandât ! Il banda, et pas en plaisantant. Quand le coquin dressa sa tête rubiconde, la comtesse le voyant en état, le laisse se démener, prend le godmiché, verse du lait chaud dans le réservoir, et se l’attache autour des reins. Elle aide la soubrette à s’enfoncer le morceau dans le ventre, et quand elle est enchevillée, elles se redressent, Lola me présente ses grosses fesses veloutées que je tripote un moment, et que je prépare à me recevoir par quelques salves de coups de langue. Malgré l’aide qu’elle me prête, et bien que ce soit le second siège, que soutient la place, il y a encore du tirage. Enfin, je me loge jusqu’au fond, et nous besognons en cadence, la comtesse suivant tous mes mouvements. La manœuvre fut un peu plus longue, cette fois ; et quand j’avertis Mercédès d’ouvrir les écluses, je dois lui venir en aide, car elle nous a suivis,