je saurai bien lui donner ce qu’il lui faut. Les dames russes ont souvent besoin de stimulants ; mon remède est souverain, seulement il faut me le laisser appliquer librement. » — « Allez donc, me répond la comtesse, essayer de votre remède. »
J’étais en tenue pour la lutte ; sans hésiter, je pénètre dans la pièce voisine. La princesse se retourne, sans paraître le moins du monde affectée de voir entrer un homme nu, exhibant les preuves saillantes de sa virilité. J’écarte Lison, qui était aux fesses, qui sont remarquablement blanches et potelées. Sans crier gare, je cingle rudement la large surface sur laquelle les claques résonnent comme des gifles retentissantes. La dame ne fait pas un mouvement pour éviter la fessée. La comtesse, qui d’abord avait voulu s’opposer à ma brutalité, voyant que la princesse ne bouge pas plus qu’un terme, me laisse continuer. Bientôt les fesses, qui ont perdu leurs lis, se remuent lascivement, sensibles à la chaleur qui les pénètre ; Mina, qui tripote les tétons, les sent trembler dans ses mains, les lèvres qu’elle tient sur les siennes lui rendent ses baisers, et Lola, dans le coin qu’elle