Page:D - Le marbre animé, 1889.djvu/24

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pareils, cela tient sans doute, à ce que vous êtes mieux fourni que vos prédécesseurs”.

Malgré mon insuccès, comptant que je saurais bien prendre ma revanche, je recommence ma tentative, essayant par le retour des plus douces caresses, de réchauffer la statue que j’ai auprès de moi. Je reprends donc les jolis préliminaires, prodiguant les mamours sur les yeux, sur le nez, sur la bouche, sur les dents, prenant la langue pour échanger à la manière des colombes les plus suaves baisers. Je tressaille déjà tremblant d’une douce émotion, je reviens par le même chemin au clitoris, sur lequel j’insiste longuement, jusqu’à ce que je croie le sentir s’émouvoir sous mes lèvres ; je viens alors m’étendre sur la belle, saluant le bouton du bout du gland, avant d’entrer, puis ayant logé ma verge tout entière dans le vagin, je m’y démène avec rage, tandis que je chatouille du bout du