Page:D - Le marbre animé, 1889.djvu/54

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je me relève, m’agenouille derrière, et troussant la belle, je me glisse sous ses jupes, fripant et froissant ce qui s’oppose à mon ascension vers les monts blancs de l’opulente mappemonde. Après avoir mis une guirlande de baisers sur les blancs hémisphères, je viens larder entre les fesses la petite tache noire qui s’y cache, enfonçant la langue dans le trou, piquant, pointant, poussant, jusqu’à ce que la pointe y pénètre, tandis qu’appuyés sur le bijou voisin, deux doigts agiles le branlotent. Je conduis ensuite ma belle princesse vers le lit ; et là, courbée en deux, la face tournée vers le bas, le derrière élevé, quand elle étale la lune dans son plein, je viens la trousser brusquement, relevant tout, la jupe, le jupon, la chemise ; et quand j’arrache le pantalon qui oppose un dernier obstacle à mes vœux, et que je vois jaillir la splendide croupe, qui émerge large, grasse, ar-