Page:D - Les Callypiges, 1892.djvu/231

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pantalon ouvert, la menaçant d’une cravache dont il faisait siffler l’air, chaque fois que les doigts lâchaient les bords. La victime, penchée sur le bord du lit, offrit son beau fessier dans toute sa plénitude ; j’étais aussi plus à l’aise pour fouetter, n’étant pas obligée de me pencher vers l’objet de ma sollicitude. Les belles fesses étaient cramoisies quand je jetai le tronçon usé.

Le troisième jour la dame reçut les verges sur les genoux de son mari ; le quatrième, il me la tint sous son bras ; le cinquième, je dus la fouetter sur mes cuisses comme une petite fille.

Le dernier jour, dès que je suis arrivée, lord X. ordonne à sa femme de quitter tous ses vêtements, ce que la pauvre femme fait le plus maladroitement du monde, n’ayant pas l’habitude de se défaire elle-même, en devenant de la couleur d’un habit de horse-guard. Elle dut quitter son pantalon et retirer sa chemise ; la pauvre dame tremblait de honte et de frayeur quand elle resta toute nue, avec ses bas de soie gris perle, et ses élégants petits souliers vernis. Le noble lord avait dans sa moitié un ravissant corps de femme,