Page:D - Les Callypiges, 1892.djvu/333

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lèvent pour retomber brusquement à chaque coup, manœuvrant comme un mâle jusqu’au moment psychologique ; ils restent alors épanouis, palpitants et frémissants d’aise.

Les dessous s’arment de l’engin à leur tour, et, agenouillant leurs épouses sur des coussins, ils les prennent en levrette, s’accrochant aux saillies du devant, étalent leurs gros hémisphères aux rondeurs proéminentes, délicieusement exposés pour recevoir les verges. Les fouetteuses ont changé ; les nouvelles venues remplacent dignement leurs devancières ; elles fouettent vertement les globes rebondis, qui se précipitent en avant à chaque atteinte piquante, enfonçant l’arme jusqu’à la garde. Pour les aider à mener plus vite la besogne, et à la finir en même temps que leur partenaires, les fouetteuses les fustigent de temps en temps entre les cuisses écartées, atteignant les minets barbus, qu’on aperçoit bâillant d’aise, et qui laissent bientôt des pleurs qu’ils distillent.

On ne serait pas fâchée d’un petit intermède. Mrs. Whipping, qui a repris sa chemise