Page:D - Les Callypiges, 1892.djvu/41

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

bout qui pend par la fente est quelquefois disposé de façon à laisser voir un peu de la cuisse nue ; on relève ce bout, c’est le bas de la croupe qui apparaît avec la raie large, montrant tout au fond le petit rond bruni, et, sous le creux des fesses bombées, la petite fente aux lèvres roses, ombragée de touffes noires, de frisons roux ou dorés, ou même dénudée chez les jeunes coupables ; la chemise remonte toujours, découvrant deux jolis globes dodus, potelés, grassouillets, ronds et fermes, presque toujours très-développés chez les jeunes filles, qui émergent encadrés comme à une fenêtre ; ici des lis éblouissants sur un beau cul d’albâtre satiné, là de la neige rose sur une belle mappemonde veloutée, partout des rondeurs exquises, des saillies adorables, des reliefs séduisants, qui tendent la fine toile fendue et dans l’encadrement cette belle chair, satin ou velours, que la main palpe avec délice, caresse avec ravissement, sous prétexte de repousser ou d’arranger la chemise, d’écarter les bords, ou de rabattre le pantalon.

Ce doux contact me remplit d’aise chaque